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Cette projection architecturale est l’assemblage de GRAVEL@, les archives photo-documentaires captées lors de la recherche et création pour la réalisation du film GRAVEL (RE)WORKS (2023). Elle s’inscrit dans la période pandémique et a reçu le soutien du Conseil des Arts du Canada, programme Présence Numérique en 2021.
Le film sera projeté en première mondiale sur la surface architecturale d’environ 1 200 m² de l’Edifice Wilder – Espace danse, à la place des festivals de Montréal.
La projection a lieu tous les soirs de 19h30 à minuit, du 14 mars au 14 avril 2023. 🎧 voici une recommandation de trame sonore. (suggestions ou autres playlists appréciées). https://lnkd.in/eUYBGCeS
Le film, à la fois documentaire et artistique, est le témoin de la recherche en studio (Centre Pierre-Peladeau, Circuit Est, Sala Rossa, Théâtre Maisonneuve…) de Frédérick Gravel (DLD), autour de l’idée du point de vue dans la chorégraphie, qui a entre autres mené au film GRAVEL (RE)WORKS et à la projection architectural GRAVEL@ LE WILDER, concrétisation de nombreuses conversations entre le chorégraphe et le photographe.
Il s’agit d’une coproduction entre le Festival International des Films sur l’Art et le Partenariat du Quartier des spectacles.
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« Je suis entré dans la salle dans laquelle Fred répétait FEAR AND GREED en 2019. Il m’a laissé entrer sur le tapis et me déplacer vraiment partout. À trois reprises, je l’ai mitraillé de mon petit GR et produit FEAR IN MOTION (2020) ». — yako
C’est ainsi qu’a commencé une période de recherche et création portée par la compagnie de danse DLD.
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CAPTER LE VIVANT
(yako, 2021-23, again and again 🙂 )
Ne pas capter, mais créer avec et autour de la caméra. La caméra est placée à l’endroit même de l’action. Le dispositif scénique, capteur et opérateur, à la fois point de vue et écran du spectateur, fait partie de la chorégraphie. Il est présent et vivant, au même titre qu’un.e danseu.r.e. Il est mis en scène, il danse, il se laisse voir, déplacer. La caméra et la chorégraphie entrent en dialogue, laissant cours aux improvisations et aux commentaires.
C’est par le biais de la photographie et de « l’arrêt sur images » que yako a entamé une réflexion sur le geste, sur ses traces dans l’image fixe ou animée et aux multiples flous que le mouvement imprime sur un capteur.
yako remet en question le lieu, l’instant fugace, le présent et la réalité. C’est principalement avec la danse qu’il interroge cette réalité d’un art vivant qu’il tente d’imprimer sans le figer, dans des séries de petits films qui mêlent la chorégraphie et la photographie « en mouvement ». Il s’agit de placer le point de vue photo au centre du dispositif filmique dans lequel se trouve le danseur. Ils participent tous deux à l’écriture.
Une production In Motion Veritas (yako) présenté par le Partenariat du Quartier des Spectacles et du Festival Intl. du Film sur l’Art
Ne pas capter, mais créer avec et autour de la caméra. La caméra est placée ou se trouve l’action. Le dispositif capteur/opérateur, à la fois point de vue et écran du spectateur, fait partie de la chorégraphie. Il est présent et vivant au même titre qu’un.e danseu.r.e. Il est mis en scène, il danse, il se laisse voir. La caméra et la chorégraphie entrent en dialogue.
Je suis entré dans la salle dans laquelle Fred répétait FEAR AND GREED en 2019. Il m’a laissé entrer sur le tapis et me déplacer vraiment partout. À trois reprises, je l’ai mitraillé de mon petit GR et produit FEAR IN MOTION (2020) ».
— yako
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